Levons de suite les équivoques. Le Chili con carne n’est pas du tout une spécialité chilienne…mais il fallait bien que je trouve un titre avec un jeu de mot…de plus la viande n’est pas pour tout de suite ça attendra l’Argentine.
Le Chili est un pays à la géographie très particulière, c’est une espèce de canne retournée de 4500 km de long et de 200 km au maximum de large, pas facile à visiter hein !!! on va le faire en 2 fois : une semaine dans le centre entre Santiago du Chili et Valparaiso sur le bord de mer.
D’abord c’est Santiago, là encore on va de suite écarter une croyance qu’on peut être certain, rien à voir avec Santiano de la chanson d’Hugo Frei. Mais alors qu’est-ce qu’il y a à voir à Santiago ???
Et bien pas grand-chose, alors attention ça ne veut pas dire que cette ville est inintéressante. Oui ce n’est pas à proprement parlé une très belle ville, tout ce qu’il y a de plus occidental qui soit, des grands immeubles des années 70 se suivent les uns derrière les autres, 2 petits quartiers assez sympa au niveau de l‘architecture pour une ville de 6 millions d’habitants (sur les 18 que comptent le pays au total) c’est pas Byzance, même à Dijon on fait mieux !!!
Archives mensuelles : octobre 2016
Cuenca et les conclusions équatoriennes.
Les Galápagos sont derrières nous et nous nous retrouvons à Guayaquil, retour encore une fois à la civilisation !
La deuxième ville de l’Equateur a une sale réputation, il se dit qu’on y vole, que l’insécurité est grande, qu’on attend les touristes à la sortie de l’aéroport, qu’on les fait monter dans de faux taxis pour les amener dans d’immenses hangars où on les torture en les mettant dans d’immenses casseroles avec du persil pour les manger avec du riz. J’exagère à peine sur les légendes urbaines qu’on lit, quoi qu’il en soit on ne veut pas tenter le diable. J’ai déjà voter Sarko donc ça suffit.
On passe les 3 jours suivants à Cuenca (4h de bus). C’est une très belle ville dont le centre historique est classé par l’UNESCO. On se balade dans le centre autour des bâtiments de style colonial. Continuer la lecture de Cuenca et les conclusions équatoriennes.
les îles Galapagos : les îles mystérieuses
Elles n’ont rien de mystérieuses en fait mais j’ai toujours identifié ces îles avec l’album éponyme de Tintin.
C’est une des destinations phares de notre tour du monde qui fait rêver et qui va nous faire rêver. Oui vous l’aurez compris on rêve des Galapagos depuis qu’on est ensemble avec Cécile soit 120 ans (j’ai l’impression).
On atterrit à Baltra qui se trouve près d’une des îles où nous allons séjourner : Santa Cruz. A plus de 965 km à l’ouest de l’Equateur. L’archipel est constitué d’une vingtaine d’îles, pour des raisons de temps on décide d’en cibler 2, Santa Cruz donc et Isabella.
On se dirige donc sur le principal port de Santa Cruz après quelques difficultés : attention pour ceux qui un jour feront comme nous, les bus qui vont de l’aéroport à Puerto Ayora partent dès qu’ils sont remplis…après il est galère d’effectuer les 42 kms surtout quand il y a peu de taxis. On se rend compte que c’est une destination touristique : un des rares taxis qui restait nous avait donné son accord pour nous emmener, sauf qu’il a fait marcher l’offre et la demande et un autre touriste a proposé plus cher. Nous nous sommes donc retrouver sur le carreau.
J’ai failli m’emplâtrer mon premier Équatorien. C’est pas mal quand même se payer un Équatorien, ça fait plus classe que l’habituel roumain aux feux rouges. Continuer la lecture de les îles Galapagos : les îles mystérieuses
l’Amazonie, voyage en terre inconnue.
Après les montagnes on s’offre un bout de rêve : une excursion de 4 jours au cœur de l’Amazonie Equatorienne. Nous allons dans la réserve Naturelle de Cuyabeno, c’est un parc national préservé des exploitations pétrolières, qui pullulent dans le coin. D’ailleurs sur la route nous voyons ce qui semble être un puit.
Nous logeons au bord d’une rivière au Dolphin rose Lodge. Oui c’est le coin des dauphins roses, rares dauphins d’eau douce. Nous les avons vu mais très furtivement, un peu comme un fonctionnaire à son poste de travail, faut être attentif pour les apercevoir.
Le voyage est assez long de Quito : bus de nuit de 7 h pour traverser les Andes et arriver à un village aussi joli qu’un allemand en grosses chaussettes en laine avec des birkenstock : Lago Agrio. De là 2 heures de minibus sous un déluge quasi-biblique genre ancien testament. Et clou du spectacle pour rejoindre le Lodge qui est niché comme vous l’aurez compris au sein de la Jungle équatoriale équatorienne, 2 heures de pirogue qui auraient dû être idyllique mais qui au final se révèleront presque dantesque à cause d’une pluie incessante. Continuer la lecture de l’Amazonie, voyage en terre inconnue.
Quito, la moitié du Monde !!!!
L’équateur pays particulier qui porte le nom même de cette ligne qui partage en 2 le monde. Nous sommes à Quito, ville immense de 2 millions d’habitants. Immense alors qu’il n’y a que 2 millions d’habitants. Il faut se référer au cours de Géo de Yoan du CNED pour comprendre : ces villes de pays en développement grandissent sans aucun plan d’urbanisation. Des maisons individuelles se construisent au gré des besoins de la population. Résultat Quito avec 2 M d’habitants fait plus de 50 Kms de long…Lyon Saint Etienne réunis…non ce n’est pas possible ! Quoi qu’il en soit Yoan voit de visu son cours de géographie. Nous visitons la ville qui disons-le de suite n’a rien de bien particulier, un centre historique toujours de type colonial espagnol, mais rien de remarquable, si ce n’est l’intérieur des églises. Continuer la lecture de Quito, la moitié du Monde !!!!